Bonjour à tous,
Nous nous sommes retrouvés à quatre (Rosy, Michel, François et Jean-Marc) à CAZILHAC sans notre poisson pilote Joël. C'est donc sous la baguette du local de l'étape, en l'occurrence Jean-Marc, que s'est élancée la petite troupe.
Notre président respectable et respecté Michel avait demandé un parcours de 15 à 17 km; son souhait fut exaucé puisque nous avons parcouru exactement 16 km autour des villages de CAZILHAC et PALAJA. A signaler une nouvelle chute de François (peut-être l'âge !) qui s'est bien pelé le genou droit.
Ce fut à la fois une sortie variée, sportive bien sûr, mais aussi bucolique et culturelle avec un passage sur les ruines du prieuré du St Sépulcre et du St Foulc (XI° siècle) dont on aperçoit, en passant sur la route CD 42 entre CAZILHAC et PALAJA, le clocher appelé pigeonnier de Cazaban (Cf. photo ci-dessous).
De plus notre président fut encore plus satisfait sur cette matinée car notre sortie s'est achevée chez Jean-Marc, devant une table bondée de gâteaux succulents préparés par Marie-Jo que nous remercions. Nous pouvons confirmer que la gourmandise de notre président n'est pas une légende et qu'il n'a pas usurpée cette réputation. Il a tenu à tous les goûter en prenant à chaque fois un morceau conséquent. On peut penser que son repas dominical a été frugal.
Amicalistement vôtre !
Après avoir fini sa digestion pendant sa sieste, notre président profite de son droit de réponse pour bien mettre les choses au clair et les points sur les "i" à son propre sujet :
Cher(e)s ami(e)s amicalistes,
Je tiens à réagir avec la plus grande fermeté à l’article paru dans le blog de l’amicale concernant notre sortie dominicale du 8 Juillet dans lequel son rédacteur, au demeurant fort dévoué, me dépeint sous les traits d’un gourmand dégénéré (réputation aussi injustifiée que traumatisante) alors qu’il ne s’agit de ma part, et ce sont évidemment les contraintes d’un président, que de savoir-vivre, de politesse et de bienséance.
En effet lorsque vous êtes convié en fin de sortie, comme cela arrive régulièrement et c’était effectivement le cas ce weekend chez Marie-Jo, à déguster des préparations que la maîtresse de maison a mis parfois des heures à confectionner, comment voulez-vous ne pas goûter à tous les plats qui décorent la table richement garnie au risque de froisser notre hôte et de provoquer des vexations indélébiles.
A titre d’exemple, j’ai été contraint et forcé , il y a 3 jours, d’ingurgiter, au risque d’y perdre la santé, des pancakes à la confiture, 2 parts de moelleux au citron, du flan, une part de Mouna (gâteau espagnol), des dattes, plusieurs morceaux de pastèque que deux cafés ont eu du mal à faire passer. Ce sens du sacrifice ne peut, et cela tombe sous le sens, être assimilé à de la gourmandise.
J’ajoute que l’éducation rigoureuse judéo-chrétienne, dans laquelle ma maman m’a élevé avec amour, m’avait mis en garde contre les dangers et les dérives des 7 pêchés capitaux. Alors de grâce, comme je suis déjà en délicatesse avec la plupart des six autres, ne m’affublez pas de ce dernier qui ne pourrait qu’alourdir le passif qu’il faudra qu’un jour, lointain si possible, je dépose aux pieds de l’Eternel.
Amicalistement.
Michel.
PS : Autre sujet plus léger : j’ai eu la confirmation ce weekend que le vrai prénom de notre camarade Rosy était Rosa, beaucoup plus ensoleillé, plus exotique, plus féminin ce qui, en un mot, correspond mieux à sa personnalité. Je vais donc désormais, avec son accord, l’appeler ainsi à l’avenir; chacun bien évidemment choisissant le terme qu’il lui plaira.
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